COUREURS DES BOIS EN NOUVELLE FRANCE
Une nouvelle aventure des Enfants du Temps au XVIéme siècle :
Comment quatre enfants et un chien berger,
découvrent le Canada et, aux côtés
de Jacques Cartier et de Samuel de
Champlain, fondent la Nouvelle
France dans le premier volume des aventures des "coureurs des
bois".
Le début d’un périple qui conduira nos voyageurs du Saint Laurent au Mississipi pendant
lequel ils surmonteront les dangers de la navigation et feront face aux
attaques des féroces Iroquois.
Lire quelques extraits en cliquant sur plus d'infos:
Lire quelques extraits en cliquant sur plus d'infos:
CHAPITRE
III
Nouveau
départ
..."Une
lame bouscula la goélette. Un haut le cœur souleva Sami. Il plongea entre les
jambes de ses cousins pour atteindre plus vite le bastingage. Tarmack grogna et
montra les crocs à la vague déferlante qui passait par-dessus le garde-corps.
—
Nous sommes sur un bateau !
Ils
naviguaient sur un fleuve où l’eau et le ciel semblaient se confondre."...
...
......................................................................................................................
..."Puis nous avons vu des monstres qui s’ébattaient en
troupe. Ils plongèrent, disparurent. Brusquement, a surgi une gueule énorme
avec des dents noires serrées, longues d’un empan[1].
L’animal était grand comme la tour de Saint Malo. Sa queue dépassait la
longueur du bateau. Le poisson géant s’agitait avec fureur, sa queue battait l’eau
de colère. Il fit chavirer le navire. Et nous voilà en perdition. Je me suis
enfoncée dans l’eau, pouvant à peine ni nager ni respirer… Je sombrais…"...
........................................................................................................................................
..."― Le chef dit qu’il faut parcourir
le grand fleuve qui marche jusqu’à l’endroit où il rétrécit. À ce lieu que les
indiens appellent Kébec, un village
est implanté. Il dit que nous pourrons nous y ravitailler. C’est un lieu
d’échanges. Il y a une grande cabane, ils l’appellent le « Canada »
À l’intersection du grand fleuve et d’une rivière se
dressait un village baptisé Stadaconé.
Les indiens l’avaient construit là où l’estuaire devenait fleuve à l’abri des
grands vents.
― Ce lieu est magnifique, il serait parfait pour y
créer une cité.
― Comment pourrions- nous l’appeler ?
― Pourquoi pas du nom indien de l’endroit.
― Québec ?
― Excellente idée !
Et le navire pénétra dans le fleuve le jour de la Saint Laurent. "...
...............................................................................................................
..."―
La jeune femme est une grande sorcière médecine et nos frères blancs sont de
grands chefs de guerre malgré leur âge. Ils ont droit aux tatouages des grands
guerriers, déclara le sachem du peuple de la « petite nation ». Et le
front et les joues des enfants s’ornèrent de peintures de guerre : pour
Arthur le symbole du loup, pour Sami celui de l’aigle, celui de l’ours pour
Rayan et pour Lina le signe de l’étoile du matin afin de rappeler à tous leur
valeur et leurs exploits."...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
merci de laisser un commentaire